On m’a aussi rapporté que depuis quelques années ils exigent une adresse en Suisse pour déposer son dossier pour enseigner dans le public en Suisse. Ils veulent que les nouveaux arrivant résident en Suisse suite a la loi de la « préférence cantonale ».
Pour les étrangers qui veulent enseigner en Suisse c’est assez compliqué car ils doivent trouver une adresse en Suisse. C’est devenu le problème numéro un pour les enseignants Français qui veulent travailler en Suisse.
On trouve plein de sujet sur ce domaine sur le NET
Pour trouver un job dans l’enseignement public, il faut:
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Une adresse réelle en Suisse. On n’est pas dans le domaine privé où Nestlé recrute dans le village global.
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En général, avoir deux branches pour enseigner. 3. La maîtrise parfaite du français. C’est une exigence de premier ordre.
Pour les démarches, faites une recherche sur le net au niveau fédéral/reconnaissance des diplômes.
Si les reconnaissances sont nécessaires ou possibles, vous attendez et payez sans doute un petit émolument. Parfois, les reconnaissances ne sont pas exigées. Donc, vous envoyez votre lettre de motivation, CV, copie des titres avec les reconnaissances fédérales, certificats de travail dans les endroits où vous voulez enseigner. Si vous mentez sur votre adresse ou vos expériences et que cela se sent ou se sait, vous êtes blacklisté. Les directeurs se sont organisés pour détecter les menteurs. Les directeurs se téléphonent pour avoir une idée de la personne à engager ou non aussi.
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Hello, avec le capes, j’ai obtenu l’équivalence pour enseigner l’anglais dans le secondaire 1 et école de maturité . Pas besoin d’HEP. En revanche, il est indispensable que tu affiches une adresse en Suisse avec un numéro de téléphone suisse aussi. J’ai postulé sans succès pour le moment. Je suis prof depuis 20 ans sur Paris. La préférence nationale est légitime , mais il faut préserver. En tout cas, même réaliste je reste determinee. Notre chance c’est que l’anglais est demandé , ne vise pas que les écoles publiques . Bon courage pour la dispo, pas cool ton académie …
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Bonsoir à tous,
Je veux partager on expérience avec vous, ce n’est pas pour vous décourager mais peut être apprendre de mon expérience. En fait je devais faire la demande de reconnaissance au mois de novembre,
Mais la difficulté de trouver une adresse en Suisse m’a retardé, j’ai finalement envoyé le dossier
Fin du mois de janvier, qlq semaines après j’ai reçu un courrier qui demande d’autres documents complémentaires, J’ai complété le dossier aumois de février, ensuite j’ai attendu mi juin pour avoir la reconnaissance, je pensais avoir fait le plus difficile, finalement ce n’est le cas, j’ai envoyé plusieurs demandes sans réponse, à chaque le poste est repourvu, je viens de rentrer de Genève, j’ai visiter plusieurs établissements, j’ai pu comprendre qu’il faut commencer par des remplacements, sauf le problème pour s’inscrire sur la liste de remplacement, il faut avoir un permis de travail.
Donc c’est un cycle vicieux, on ne peut pas faire des remplacements si on n’a pas de permis de travail.
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Je me suis donnée trois mois sur place , six me parait très compliqué financièrement , pour obtenir n’importe quoi pourvu que cela me permette de rester , soit un permis de séjour Ou permis de travail, ce qui est la même chose en Suisse.
Si j’échoue, je retourne en France et je logerai chez mes parents… seul moyen économique en attendant de retourner travailler au service de l’éducation nationale.
oui vivre en France et travailler en Suisse est l’idéal mais c’est difficile à obtenir car dans les descriptifs de poste , et remplacement, il est demandé une adresse suisse , voire la nationalité suisse …Les frontaliers n’ont pas trop la cote apparemment, d’où ma solution radicale de déménagement