Le collège du Léman est encore plus cher, une année pour un élève de 3eme à Terminale faut compter frais de dossier de 500 CHF, de frais d’admission de 3’800 CHF plus 35 000 Chf pour les frais d’écolage, 3650 chf de cantine et 4750 Chf de transport, ce qui donne plus de 47 000 Chf par enfant par année
Le collège du Léman est une option, mais les tarifs sont beaucoup plus élevés que Mont-Olivet avec beaucoup plus d’élèves et internat. C’est un peu l’usine…
Mont-Olivet est la moins chère du secteur avec l’avantage de maximum 18 élèves par classe et un niveau supérieur et un enseignement plus respectueux des enfants.
Je vous laisse comparer.
Ok merci c est bon a savoir on va étudier les 2. Pour être honnête le coût ne rentre pas dans la décision car c est le travail de mon mari qui va le prendre en charge.
Le problème aussi c est de savoir qui aura de la place comme ca, quelques mois avant la rentrée.
En effet si le critère financier ne rentre pas en compte ça laisse plus de possibilités.
A l’école internationale à Genève il reste des places même en cours d’année.
Dans certaines organisations internationales à Genève c’est plafonné à 25 000 Chf donc ça ne couvre pas toutes les écoles.
Bonjour
Ca depend aussi du lieu de residence de vos parents, ou sont ils? Moi je suis sur la Roche sur Foron c’est une ville agreable comme vous le souhaitez avec des ecoles en nombre.
Il y a un train Leman express pour aller sur Geneve. Sinon regardez les villes desservies par ce transport qui est bien pour les ado aussi.
Un principe : habitez sur la rive où vous allez travailler, traverser Geneve de part en part est une perte de temps. Bonne suite!
je trouve étonnant que la question « d’y perdre » soit évoquée avec un sentiment de recul.
personnellement, ayant déjà fait l’objet de quelques expats dans ma jeunesse : changer de zone géographique, c’est forcément davantage de pertes financières (et pas que) par rapport au gain souhaité, qu’il soit à la hauteur ou non.
la plupart des francais ou européens qui sont résidents suisses ont du faire des concessions, et pas que financières, pour s’installer en contrée helvétique, de même que frontalier.
c’est souvent pour cela que le mot d’ordre numéro 1 est que cela se fasse en accord avec l’employeur, dans le sens où la délocalisation est nécessaire/acceptable pour le travail.
de ma compréhension, vous aviez une bonne, ou plutot bonne, situation au canada.
une obligation privée vous oblige à faire comme les ptits jeunes de 20/25 ans : quitter leur pays avec leur baluchon (pour vous, votre famille, et surtout toute votre vie) pour tout bagage, comme un grand saut dans l’inconnu, sans attente spécifique (hors une école ou une zone donnée), et évidemment sans savoir où professionnellement vous atterriez dans les mois/années à venir.
à vingt ou vingt cinq ans, ça passe, pas ou peu d’attaches. Pour un foyer parental, il n’est pas possible de dire la meme chose : au mieux ca coutera beaucoup financièrement (voir si l’employeur peut « sauver les murs »), mais de là à partir avec conjoint et enfants sur le dos, à la recherche d’un emploi dans un pays qu’on a quitté ya longtemps (ou jamais vécu), ça fait très stagiaire de 1ère année ou PVT à mon sens, et c’est souvent temporaire, et surtout : ne jamais déménager sans contrat signé, sinon c’est naviguer à vue. Et je pense que cette dernière option n’est pas la meilleure, et souvent le début des emm…
comme j’ai l’habitude de le répéter à de jeunes non-diplomés fuyant le smic français pour l’étranger : hors de l’hexagone, chaque pays a aussi ses chomeurs, c’est souvent très compliqué, sans proposition avant déménagement, ni compétences spécifiques, d’en faire une expérience solide… mais comme c’est pas indiqué en préambule… doit on croire que l’« école internationale » signifie cadre sup’ systématique?
my2cents.
Je ne suis pas d’accord avec vous, quitté la France pour la Suisse à 45 ans en famille et absolument aucun regret, au contraire, gagné sur tous les plans, qualité de vie, ambiance, culture, niveau de vie….
La vie est trop courte pour ne pas tenter l’aventure, après on le regrettera sauf à aimer son train train quotidien en attendant sa retraite comme but dans sa vie.