Après une recherche infructueuse sur le forum, je pose ma question.
Voici la situation. Je viens de décrocher un poste au sein d’une entreprise dont le siège social se trouve au Portugal et j’ai le choix d’être basé partout en Europe (sauf en France) et j’ai donc choisi Genève pour sa proximité avec Nice (ma résidence). Genève ne me sert que de ville de départ et de retour et je ne reste pas sur place, ni en Suisse, pendant ma semaine de travail.
Mon employeur me demande uniquement un numéro AVS pour exercer mon activité sans obligation de résidence dur place.
J’ai pas mal cherché quel type de permis s’applique à ma situation (idéalement un G) mais systématiquement l’employeur doit avoir son siège social en Suisse et ce cas ne s’applique pas à moi.
Je ne sais trop quel type de permis demander, j’ai envoyé un mail au Canton de Genève et j’attends leur réponse.
Le plus logique depuis Nice est de choisir plutôt l’Italie
Vous ne pourrez pas avoir un numéro avs sans employeur Suisse ni permis de travail Suisse.
Le numéro AVS est obtenu car il y a cotisation de l’employeur à l’AVS AI.
Le permis G est pour un salarié d’un employeur Suisse qui réside en zone frontalière.
De plus avec un permis G vous ne pouvez pas télétravailler à 100% depuis la France
Très bien merci. Qu’en est-il est des travailleurs détachés en Suisse par des entreprises de l’UE. Est-ce du cas par cas ? J’ai un contact qui travail dans la même entreprise que moi mais qui a réussi à obtenir ce qu’il fallait (permis et numéro AVS) pour travailler en Suisse (il a travaillé précedemment en Suisse pour un autre employeur domicilié en Suisse).
Le siège social étant au Portugal, je vais être considéré comme un travailleur portugais détaché en Suisse. Une partie des taxes sont payées au Portugal et l’autre partie en Suisse.
Ça n’aurait de sens que si vous résidiez en suisse.
Je rejoins l’autre conseil de trouver une résidence en Italie et de travailler au Portugal.
Ça sera plus simple.
Tu peux demander un permis 120 jours en affirmant que tu ne passeras pas plus de 120 jours sur Suisse. C’est ce que m’avait préconisé l’OCPM en 2000. J’avais obtenu un permis L car je travaillais pour une boîte italienne. Par la suite, je l’ai transformé en permis B.