Allez on va prendre son bonbon ricola et ça ira mieux
Sans les accords bilatéraux, la suisse s’écroule car elle exporte majoritairement vers l’Europe. bref ça marche dans les 2 sens.
Juste dernier exemple a été l’exclusion de la suisse du financement des programmes de recherches européens…ben ça fais pas rigoler dans toutes les universités en suisse, le risque majeur que les chercheurs de premier plan aillent voir ailleurs.
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C’est vrai qu’on a attendu les Français pour que la Suisse soit au plein emploi ? Arrêtez là, je vais pleurer pour vous, les gars. Parce que vous pensez qu’avec votre bac, vous êtes plus intelligents que tout le monde ? Allez, les gars, il faut revenir sur terre. Vous ne savez même pas parler l’anglais correctement, alors que nous, on maîtrise 4 langues. Alors, ne venez pas me parler de vos ingénieurs. Si vous n’êtes pas au courant, en Suisse, nous avons des écoles d’excellence. Vu le niveau d’éducation en France actuellement, je la mettrais en veilleuse, car comparé à un pays qui dégringole dans les classements mondiaux, ce n’est en tout cas pas le cas de la Suisse aujourd’hui.
Je n’ai jamais dit qu’il fallait fermer les frontières, ça n’est pas ça le problème. Mais vous lisez ce qui vous arrange. Je vous ai dit depuis le début, et dans tous mes posts, que le problème venait des quotas. Aujourd’hui, il n’y a plus de limite et, quand il n’y a pas de limite, eh bien, c’est comme l’immigration, ça pose de gros problèmes. Il faut établir des quotas stricts, ni plus ni moins. Je ne suis pas pour refuser tout le monde, mais pour accueillir dans un juste milieu qui ne met pas en péril l’emploi des gens en Suisse.
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Désolé mais vous nous parlez que de votre expérience malheureuse sur Genève qui d’ailleurs appartenu au ducs de savoie donc quelque part un peu française historiquement…Allez voir ailleurs en suisse.
Pas besoin des frontaliers pour que les vaudois et les genevois se détestent
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Parce que la Suisse, avant l’Europe, n’exportait pas ? Bien sûr que si. Ce que vous me dites là, c’est que sans l’Europe, on est rien. Je vous rappelle qu’il n’y a pas que l’Europe sur Terre, bien heureusement, et que la seule chose que l’Europe sait faire, c’est imposer un dictat. Regardez maintenant : votre pays en paie les conséquences dans tout. Quel bon exemple de me parler de ça. Vous pensez qu’en Suisse, on serait assez bêtes pour accepter d’entrer dans ce foutoir ? Ces accords bilatéraux peuvent être remis en cause à n’importe quel moment. Vous pensez que nous n’avons pas de mesures de protection ? Un pays comme la Suisse a toujours une roue de secours. Quant à votre programme Erasmus, cela n’a rien à voir avec l’emploi en Suisse. L’Europe aime bien faire du chantage, mais nous avons encore l’avantage de voter en Suisse et de dire oui ou non, et ça, ce n’est pas négligeable.
P.S
En réponse, la Suisse a mis en place son propre programme d’échange, appelé le programme Suisse-Europe pour l’éducation et la formation (SEFRI).
Le programme SEFRI fonctionne de manière similaire à Erasmus, en offrant des possibilités de mobilité et des échanges pour les étudiants, les apprentis, et le personnel enseignant. Il permet aux participants suisses de passer du temps dans des établissements d’enseignement supérieur en Europe, et inversement, il invite également des étudiants européens en Suisse.
Le programme SEFRI est financé par le gouvernement suisse et il vise à maintenir les relations de coopération étroites avec les pays européens dans le domaine de l’éducation, malgré l’absence d’adhésion formelle de la Suisse à l’UE
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C’est l’hôpital qui se fou de la charité. Avec votre passé de colonisateur, je ne m’aventurerais pas trop sur ce terrain glissant.
C’est vrai qu’entre les Corses et les Parigots c’est le grand amour.
Vous avez perdu votre emploi depuis 2016, quoi de si triste dans votre vie pour revenir sur ce forum si longtemps après et être aussi aigri.
je vous parler pas d’erasmus on a compris pour quel parti vous roulez tchao…
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Bonsoir
Au lieu de critiquer les français qui selon vous accepte n’importe quel salaire.
Aux HUG, c’est l’État de Genève, il y a des échelles de traitement identiques pour tous les employés, à qualifications égales
C’était vrai il y a plusieurs années, surtout pour les vendeuses.
A Genève, il y a un salaire minimum, il existe également beaucoup de CCT.
Après on voudrait la paix sur terre, en tout cas plusieurs personnes, et là on dirait une bagarre de vipère pour savoir qui a raison.
Bonne soirée à tous
Moi, viré ? Non, j’ai démissionné d’un job très bien payé pour faire ma vie à l’autre bout du monde. Je ne suis pas fou pour rester dans un système qui privilégie davantage les étrangers que ses ressortissants.
En Asie, ils ne sont pas aussi naïfs que nous à accepter que les étrangers travaillent à leur place. Eux ont compris que leur peuple était prioritaire.
Ce n’est pas parce que je suis parti ailleurs que je n’ai pas gardé un œil sur la politique en Suisse. On peut avoir ses convictions. Aujourd’hui, je suis triste de voir que mon pays n’a plus de respect pour son peuple. Ceux qui restent ont du courage.
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Bonsoir JoanG,
Comme mes collègues du forum (l’écrasante majorité d’entre eux du moins) je vous conseille de ne pas faire attention aux commentaires sur les sites d’actus. Ça me fait penser à X-anciennement Twitter, les commentaires sont très souvent le fait d’un concentré de personnes venant déverser la bile de leurs aigreurs.
Personnellement les résidents Suisses que je côtoie ne sont pas ceux des commentaires de 20minutes.ch
J’ai d’excellentes relations avec eux, on n’est évidemment pas d’accord sur tout, mais je n’ai pas ressenti de « racisme anti frontalier » que ce soit au boulot ou ailleurs. Si cela peut vous tranquiliser 
Je reviens sur ce poste qui résume parfaitement ce que pensant les genevois dont je fais parti…malheureusement l’auteur est légèrement parti en cacahuète par la suite.
Et s’il vous plaît à tout ceux qui parlent des échelles de salaires, des CCT, des grilles … elles ne s’appliquent pas au frontaliers.
Je m’explique, je travail moi même dans un domaine régie par une CCT ou j’ai 8 ans d’expérience en tant que Suisse lorsque je suis arrivé dans ma société on m’a tout de suite mis dans la classe 8 de l’échelle salarial, alors que toutes les personnes qui sont arrivé en même temps que moi ou après moi qui sont d’ailleurs majoritairement frontalière, ont elles commencé à l’échelle 1 de la CCT alors que beaucoup d’entre eux ont plus d’expérience que moi et pour certain, avait des postes à responsabilité.
Un employeur préférera toujours embauché quelqu’un avec de l’expérience qu’il peut payé à l’échelle 1, qu’un Suisse qui demandera l’échelle correspondante à son expérience c’est logique.
Personnellement je sais pourquoi j’ai été embauché car je travail pour des clients qui ne souhaite pas de non résident Suisse, nous sommes quelques Suisses et / ou résident Suisse (Permis C) à bosser pour cette société et l’écrasante majorité sont des français.
Ne dite pas non plus que vous prenez des jobs que nous ne voulons pas faire, mais plutôt à des salaires que nous ne pouvons pas accepter, c’est bizzard la voirie genevoise ne peine pas à recruter des Suisses pourtant c’est un boulot « ingrat » mais correctement payé.
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Bonsoir,
Alors à ton travail avec des échelles de traitement et une CCT c’est une grosse rigolade.
Et 7 échelons d’écart avec les mêmes qualifications, je me demande où vous bossez.
Lorsqu’il y a une CCT du côté des employés, il y a un syndicat ils sont là pour faire respecter la CCT.
Je travaille dans les RH depuis très longtemps et les salaires sont égaux. S’il y a une CCT, elle doit être respectée, sinon à quoi elle sert ?
Et dans ton entreprise vous connaissez les salaires des collègues ? En Suisse c’est tabou
Il y a encore quelques années, dans des petites entreprises les femmes étaient moins payées (cela arrive encore maintenant)
Bonne nuit
L’expérience et les qualifications en France ne sont pas reconnu dans la CCT.
Et lors de la négociation du salaire c’est l’expérience en Suisse qui compte.
Je connais le salaire de mes collègues oui en tout cas de la 30ene de collègue qui sont venu après moi puisque je m’occupe de la formation des nouveau collaborateurs et l’explication de la fiche de salaire fais parti des choses qu’ont voit.
Bref je vais pas refaire votre vision du monde puisque selon vous les salaires sont égaux et donc le dumping salarial est un mythe, ce qui est peut être valable dans votre société ne l’est pas partout.
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Taux de chômage réel de Genève 7.4%, donc loin de celui annoncé par le SECO!!! Trop de suisses ou résidents qualifiés perdent leur emploi vers 45-50 ans et un frontalier est embauché à la place. Donc, ces gens finissent à l’Hospice général au lieu de leur payer des formations dans des postes où il manque du personnel!!! De plus, inadmissible que des postes soient ouverts aux étrangers à l’Etat!! Pas un pays ne le fait et surtout pas la France!! Il faut vivre en France et être naturalisé et réussir les concours!!
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C’est cela, les frontaliers ne comprennent pas cela. Ils croient connaître la Suisse mieux que nous, les Suisses, et en réalité, ils ne sont pas du tout au fait de la réalité lorsque nous sommes postulants suisses. J’aimerais bien voir leur réaction si les entreprises françaises engageaient des Suisses en majorité à la place des Français dans leur propre pays ; je pense que ça se passerait très mal. J’ai moi-même travaillé dans des postes où des accréditations étaient obligatoires (poste sensible à cause des données), et où seuls les Suisses pouvaient être engagés. Sinon, la plupart des autres postes n’étaient pas occupés par des Suisses. Ils ont même fait venir un gars du sud de la France, du foutage de gueule.
Cela se produit dans une grosse entreprise, mais c’est loin d’être le cas partout. Quand une entreprise peut se permettre d’avoir un service RH, elle a en effet déjà une certaine taille.
Vous êtes française ?
C’est juste, le taux de chômage est faussé car les personnes qui sortent du chômage et qui bénéficient de l’aide sociale ne sont pas comptabilisées, tout cela pour faire croire à un taux de chômage bas. On voit que les taux de chômage les plus élevés en Suisse sont dans les communes frontalières. Pour l’État, c’est encore plus vicieux : ne pouvant pas engager directement des Français, ils ont choisi de n’employer que des travailleurs externes, de plus en plus nombreux. Ainsi, la société suisse travaillant pour l’État n’a pas de contrainte ; elle engage majoritairement des frontaliers qui sont ensuite placés dans des postes étatiques, mais qui ne sont pas comptés dans les statistiques de l’État, étant seulement du personnel externe. C’est ingénieux comme ils arrivent à tromper les gens et à tourner cela à leur avantage. Ces sociétés externes sont engagées à des tarifs très bas, elles ne trouvent pas de Suisses acceptant des salaires aussi bas pour un travail qui vaudrait facilement 20 à 30k de plus par an. Les Français postulent et acceptent un salaire bas, donc c’est une situation gagnant-gagnant. J’ai été confronté à cela il y a bien des années, quand une entreprise externe m’a demandé mes prétentions salariales pour un poste précis. On m’a dit que j’étais plus élevé que les autres postulants et qu’aujourd’hui, avec les frontaliers qui ne négocient pas, il était absurde que je demande 20 ou 30k de plus pour le même travail qu’un Français. C’est sûr que c’est absurde, mais cela s’appelle du dumping salarial, car je dois baisser mon niveau de vie pour eux. Je leur ai donc poliment dit de garder leur poste.
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Si je peux me permettre de vous faire quelques remarques.
Vous parlez de la hausse du recours à l’hospice général Vous n’êtes pas sans savoir que lorsque vous êtes frontalier vous payez les mêmes impôt et charges sociales que les résidents mais n’ont pas accès à ces prestations. Vous ne pouvez donc pas prendre uniquement les données des résidents sans les comparer avec le taux de recours aux aides et au chômage français des non résidents.
Dire que les frontaliers acceptent de travailler à un coût inférieur aux résidents est faux, vous avez des conventions collectives et des échelles de salaire dans la,fonction publique pareil pour tout le monde.
On peux pas à la fois traiter le frontalier de râleur et lui dire qu’il accepte tout.
Vous mettez continuellement en avant le fait que les chefs d’entreprises genevoises ont recours à la main d’œuvre frontalière à cause de leur coût mais vous ne parlez jamais de leurs compétences.
À quel moments vous posez-vous la question du pourquoi des résidents genevois vont vivre en France ?
Dans le secteur du développement logiciel, il n’y a clairement pas assez de main d’œuvre suisse.
C’est aussi un problème managérial et RH où l’on préfère recruter une personne venant du Sud de la France mais ayant fait le même travail avec les 4 technologies exigées plutôt que de former et donner sa chance à un résident suisse à qui il manque la pratique des technologies.
Sur Genève, il y a aussi beaucoup de société françaises implantées en suisse (L’occitane, LVMH, BNP, Crédit Agricole…) qui recrutent des résidents suisses ou frontaliers sans différenciation sur les grilles de salaires. Ces entreprises ne cotisent d’ailleurs pas au 2e pilier de façon généreuse ni n’applique des grilles de salaires avantageuses comme les entreprises Suisses le feraient.
Il existe bien des différences de salaire selon les permis G ou B ou C. On peut d’ailleurs le constater sur les statistiques officielles de Salariuum.
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Bonjour Sako
Effectivement beaucoup de formation en France ne sont pas reconnues en Suisse, les niveaux d’études étant bien différents selon les professions.
En Suisse la moyenne minimum est de 4 sur 6 (13.3 sur 20)
Pour être accepté à l’EPFL, il faut 16/20
Si votre CCT ne reconnaît pas ces formations, il y a sûrement une raison.
J’ai vu plusieurs certificat de travail français où on ne connait pas le travail spécifique, sur les certificats de travail suisses tout est détaillé donc là où j’ai travaillé (plusieurs entreprises) soit on n’en tenait pas compte, soit on pondérait.
C’est au service des RH à expliquer le bulletin de salaire.
Bonne journée
Pourquoi Genêve,et pas ailleurs ?
En lisant la suite, je me rends compte que ces problèmes sont bien « cantonnés » là-bas. Et c’est tant mieux pour les autres 
Ajoutons que certains d’entre vous ne savent même pas qu’il y en a 4 dans votre pays. Alors de là à dire que vous les maitrisez… je ne connais pas un seul suisse qui les parle ni les comprends.
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