Villes agreables frontiere suisse (maison, vie de famille)

Perdues non mais Bière et Gimel c’est comparable a Gex coté Français au niveau de l’éloignement, c’est au pied du Jura. Bière est assez gros, y a tout sur place supermarché clubs sports…y a même une gare de train.

Yens la localisation me plait mieux (2.3km du lac léman a vol d’oiseau), a mi chemin entre Aubonne (3’500 habitants) et Morges (près de 20’000 habitants) qui sont 2 bonnes villes avec plein d’activités surtout Morges. A Yens y a une gare qui relie Morges en 10mn sinon en voiture c’est autour de 8-9mn et en velo 15mn.

Vous concernant le point important est aussi vraiment l’éducation des enfants, Classe limitée a 20. Souvent entre 17 et 20 par classe (beaucoup moins qu’en France. Souvent il y a des assistants en plus pour épauler les maîtresses pour remettre a niveau ceux qui ont des difficultés.
Enseignement des langue bien plus développé qu’en France. Par exemple l’Allemand s’apprend dès l’age de 7-8 ans et de façon assez soutenu.

Dès l’age de 8 ans possibilité et entièrement gratuit que les enfants aillent le mercredi apm ou samedi sur leur temps libre suivent des cours de programmation, maths, physique, chomie, robotique…en intensif a l’EPFL. Une copine a Lausanne a son fils qui a 9 ans suit des cours de maths et programmation en intensif a l’EPFL le samedi.
Programme unique au monde sachant que l’EPFL est classée dans le top 10 mondial en ingénierie, sciences et informatique.

Au niveau du Gymnase (lycée) on peut si on le souhaite suivre tout le cursus en mode bilingue et en core une fois toujours gratuit. Soit FRAN ou FR ALL ou FRIT. avec la possibilité de partir en échange 1 an avec un lycée partenaire au UK ou ALL ou IT.

Et le niveau dans les matières scintifiques en fin de lycée n’a rien a voir avec ceux d’un élève Français

Education quality, 2018.

  1. Switzerland
  2. Singapore
  3. Finland
  4. Netherlands
  5. US
  6. Qatar
  7. Canada
  8. New Zealand
  9. UAE
  10. Denmark
  11. Iceland
  12. Norway
  13. Hong Kong
  14. Belgium
  15. Australia

(World Economic Forum)

France 26ième…

Moi j’ai 2 connaissances qui sont venus de Paris dans le Canton de Vaud juste pour mettre leurs enfants a l’école publique Suisse.

Regardez cet article

Admission des bacheliers français à l’EPFL : les détails qui tuent

Depuis quelques années, l’EPFL (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) attire massivement les bacheliers français, jusqu’à représenter plus de 30% des candidatures totales pour une admission en Bachelor. Les raisons ne sont plus à démontrer : l’EPFL est dans beaucoup de classements mondiaux mieux positionnée que la plupart des universités et écoles d’ingénieurs françaises, y compris les plus prestigieuses comme Polytechnique en France. Le titre d’ingénieur de l’EPFL est par ailleurs reconnu par la Commission française des titres d’ingénieurs, ce qui est probablement rassurant pour un candidat français qui souhaiterait ensuite revenir en France. Enfin, et ce n’est pas la moindre des raisons, les opportunités de l’emploi offertes sur le marché suisse sont réelles et probablement meilleures avec un diplôme de l’EPFL (le taux de chômage en Suisse est depuis plusieurs années inférieur à 5%), et le niveau de salaire plus élevé (un ingénieur débutant démarre en moyenne à 70 000 CHF par an). Mais ne rentre pas à l’EPFL qui veut : un niveau « minimum » est exigé, et c’est de cela dont il est question ici…

Pour être admis à l’EPFL, il faut à présent une mention « Très Bien »

Pour qu’un bachelier français puisse intégrer l’EPFL au niveau Bachelor, il doit aujourd’hui se prévaloir d’une mention « Très Bien » (au moins 16/20 de moyenne). En 2013, une mention « Assez Bien » suffisait (au moins 12/20). La question est de savoir pourquoi le niveau a été ainsi relevé ? Plusieurs hypothèses sont possibles : la plus simple consiste à se dire que la demande ayant fortement augmenté (plus de 20% de candidats français ces dernières années), une sélection plus forte doit être exercée en amont. Une autre pourrait trouver une explication dans une baisse du niveau du baccalauréat français, accélérée par le gonflement quasi institutionnalisé des notes du bac en France et qui a incité l’EPFL à ajuster ses critères. Il y a probablement un peu des deux.

Des meilleurs résultats pour les candidats suisses alors qu’ils n’ont aucune condition d’admission

Mais c’est la suite qui suscite le plus de questions : en 2015, seuls 38% des bacheliers français ayant eu une mention « Très bien » et admis en première année à l’EPFL ont réussi à passer en 2ème année, contre 43% des étudiants ayant un diplôme suisse. Or, les étudiants suisses au bénéfice d’une maturité gymnasiale suisse (équivalent du baccalauréat français) sont admis à l’EPFL… sans aucune condition de niveau. En théorie, on pourrait donc supposer que le niveau des bacheliers français admis à l’EPFL est supérieur à celui des étudiants suisses, ce qui ne semble pas être le cas à en croire les chiffres.

Le niveau du baccalauréat français en question

Les fervents défenseurs du baccalauréat en France trouveront probablement une montagne de chiffres et d’études pour prouver qu’au contraire, le niveau du baccalauréat s’améliore. La réalité concernant l’évolution du niveau du baccalauréat se trouve vraisemblablement dans les critères d’admission et les statistiques de réussite à l’EPFL. Ou quand un pays étranger vous renvoie une réalité difficile à mesurer dans son propre pays, par manque de repères.

Vous imaginez ceux en fin de gymnases en Suisse sans aucune sélection et toute filière confondues (literaire, eco, sciences…) vont a l’EPFL et réussissent mieux leur première année que les Français qui ont une mention TB au BAC S (seul les term Scientifique sont accepté a l’EPFL (les 3 ou 4 premiers d’une terminale S). Rien de plus a jouter sachant que la première année a l’EPFL la selection se fait a 90% sur maths/physique.

Voilà pourquoi je vous disais que beaucoup de frontalier avec enfants du pays de Gex s’installent en Suisse une fois le dernier de leurs enfants scolarisable en Suisse. Je reçois en moyenne 2 emails en privé chaque de frontaliers de ce forum qui me posent des questions pour s’installer dans le canton de Vaud, ils veulent donner un meilleur avenir a leurs enfants. Donc même s’il doivent avoir un bien immo de 10-15m2 de moins coté Suisse c’est pour la plupart du temps secondaire.Acheter un bien immo et ne regarder que le prix de l’appart ne fait aucun sens a mon avis, il faut regarder tout une autre multitude de paramètres (impôts, scolarité, qualité de vie, transport, évolution professionnelle, alloc chômage, permet a son conjoint de travailler en Suisse…)

La Suisse est considérablement mieux gérer a tous les niveaux que la France. Pour donner un meilleur avenir a nos enfants on a choisi de vivre en Suisse.

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